Kaolack : La dégradation des routes de Sarah Diamaguène et Peulkha inquietent les populations 

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Les routes reliant le centre ville au quartier Sarah Diamaguène commune de Kaolack les populations et usagers alertent les autorités insoucieuses et incapables à la gestion du pays surtout aux inondations et tous les dangers que représentent ces axes routiers qui peuvent créér de danger à tout moment.

« Les différentes routes qui mènent au quartier Sarah Diamaguène se trouvent aujourd’hui dans un état de dégradation qui fait peur aux usagers et les populations. Ces routes sont dans cet état depuis presque 10 ans au regard de nos autorités Étatiques et locales. Les habitants qui empruntent ces infrastructures demandent au gouvernement sénégalais de s’en occuper pour éviter une catastrophe. Partout le sable à prit surface du goudron .On s’interrogent si nous sommes habitants de la commune de Kaolack ; toutes les politiques de développement de la ville de Kaolack, le quartier Sarah Diamaguène n’est pas pris en compte », a dénoncé Amadou Doré Ly. responsable des jeunes pour le développement de Sarah Diamaguène.

« Chaque année pendant, l’hivernage Sarah Diamaguène est complètement coupé du centre ville à la partie l’Ouest du quartier. Il y a une partie longue de 500 mètres qui est transformée à un marigot qui se trouve être un danger permanent aux enfants. Nous avons vu récemment des cas de noyage à Dakar. On ne le souhaite pas mais si la pluie continue avec ce rythme, Sarah Diamaguène aurait ses enfants noyés c’est après qu’elles vont faire ce qu’on appelle le médecin après la mort »,  a-t-il ialerté lors d’un site in
 »S’il y a une catastrophe humaine, qu’ellles s’intéressent aux gens; un comportement que nous dénonçons. La position de ces sites doivent les préoccuper. C’est une situation qui est entrain de freiner les activités génératrices de revenus des femmes de Sarah Diamaguène et Peulkha car aucun taximen n’accepte d’y arriver », a dit M. Ly.
Au- delà de ces maux allant dans le cadre du transport, Sarah Diamaguène et Peulkha font face à l’insécurité galopante dont le manque de l’éclairage public au niveau de ces localités fait défaut en plus de l’évacuation de nos malades vers le poste du quartier qui est totalement ceinturé par les eaux de pluie ce qui fait que les populations sont obligées d’aller vers l’hôpital régional Elhadji Ibrahima Niasse .
Les autorités informées de la situation continuent de garder la sourde oreille », a conclu Amadou Siré Ly.

Par Senpresse.net

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