La candidature de Macky Sall aux élections législatives anticipées du 17 novembre est indécente et a des allures d’une insolente provocation faite au peuple sénégalais qui n’a pas encore fait le deuil de ses dizaines d’enfants assassinés. Morts pour s’être opposés à sa volonté de briguer un troisième mandat auquel il n’avait constitutionnellement pas le droit. Et au regard de l’ ingratitude et de l’ arrogante dont il a fait montre en quittant ses fonctions et des actes lâches qu’il a posés dans le désir sordide de saboter sa succession, pour bloquer économiquement le pays, Macky Sall devait par honneur et par décence se tenir à bonne distance de ces joutes électorales. Puisqu’à vrai dire, il est indigne pour moult raisons de la confiance populaire.
Il avait par deux fois juré devant la nation de respecter et de faire respecter la charte fondamentale de notre pays. Jamais la constitution n’a été aussi violée, déchirée et rapiécée que durant son magistère qui a été une longue période de purgatoire, pour ne pas dire la période la plus sombre et la plus violente de l’histoire du Sénégal indépendant.
Il avait juré par deux fois de ne ménager aucun effort pour la construction d’un Sénégal uni, sécurisé et prospère. Pourtant il a adopté le clanisme et l’éthnicisme comme principes de gestion des affaires de tous. Avec à la clef la promotion des valeurs négatives , par la garantie de l’impunité offerte aux pires prédateurs du bien commun. Dès lors qu’ils sont, et c’était toujours le cas des membres de son cartel.
Qui plus est, Macky Sall faux génie politique et véritable génie du mal , mégalomane sadique et maladivement autocrate, a durant douze longues années, menti a son peuple. Pour se maintenir au pouvoir, il a fait dans le renient sans limites. Toute honte bue ! D’abord sur l’engagement de ramener son mandat de sept ans en quinquennat , ensuite sur le troisième mandat.
Grisé par les délices exquis du pouvoir,Macky casse toutes les limites morales, et se mue en un tyran aveugle, féroce et sanguinaire sans foi ni loi , autre que ses désires propres. Il n’a cure des droits humains et des libertés . Dans ce semblant de pouvoir absolu soutenu par des généraux et des magistrats corrompus, le traître à la nation était pourtant seul et tetanisé de peur. Conscient que son régime ne subsistait qu’en apparence, grâce à une répression hideuse et à la contribution intéressée d’une certaine presse, qui le droguait avec des niaiseries du genre: « Macky droit dans ses bottes » « Macky siffle la fin de la récréation. « Avec pour contre partie des enveloppes d’argent glissées sous les tables. Dans la lumière tamisée de quelque restaurant de luxe.
Cette même presse sevrée de l’argent public depuis le 24 mars 2024 essaie aujourd’hui de vendre aux sénégalais l’opportunité de la candidature, dans le cadre d’une coalition ridicule, du bourreau de près de cent jeunes personnes. Nostalgie du paradis perdu oblige ! Mais le peuple, pour sa part reste convaincu que s’inviter à ces joutes du 17 novembre est pour Macky Sall un acte hautement indécent .
La candidature de Macky Sall aux élections législatives anticipées du 17 novembre est indécente et a des allures d’une insolente provocation faite au peuple sénégalais qui n’a pas encore fait le deuil de ses dizaines d’enfants assassinés. Morts pour s’être opposés à sa volonté de briguer un troisième mandat auquel il n’avait constitutionnellement pas le droit. Et au regard de l’ ingratitude et de l’ arrogante dont il a fait montre en quittant ses fonctions et des actes lâches qu’il a posés dans le désir sordide de saboter sa succession, pour de bloquer économiquement le pays, Macky Sall devait par honneur et par décence se tenir à bonne distance de ces joutes électorales. Puisqu’à vrai dire, il est indigne pour moult raisons de la confiance populaire.
Il avait par deux fois juré devant la nation de respecter et de faire respecter la charte fondamentale de notre pays. Jamais la constitution n’a été aussi violée, déchirée et rapiécée que durant son magistère qui a été une longue période de purgatoire, pour ne pas dire la période la plus sombre et la plus violente de l’histoire du Sénégal indépendant.
Il avait juré par deux fois de ne ménager aucun effort pour la construction d’un Sénégal uni, sécurisé et prospère. Pourtant il a adopté le clanisme et l’éthnicisme comme principes de gestion des affaires de tous. Avec à la clef la promotion des valeurs négatives, par la garantie de l’impunité offerte aux pires prédateurs du bien commun. Dès lors qu’ils sont, et c’était toujours le cas des membres de son cartel.
Qui plus est, Macky Sall faux génie politique et véritable génie du mal , mégalomane sadique et maladivement autocrate, a durant douze longues années, menti a son peuple. Pour se maintenir au pouvoir, il a fait dans le reniement sans limites. Toute honte bue! D’abord sur l’engagement de ramener son mandat de sept ans en quinquennat, ensuite sur le troisième mandat.
Grisé par les délices exquis du pouvoir, Macky casse toutes les limites morales, et se mue en un tyran aveugle, féroce et sanguinaire sans foi ni loi, autre que ses désires propres. Il n’a cure des droits humains et des libertés. Dans ce semblant de pouvoir absolu soutenu par des généraux et des magistrats corrompus, le traître de la nation était pourtant seul et tetanisé de peur. Conscient que son régime ne subsistait qu’en apparence, grâce à une répression hideuse et à la contribution intéressée d’une certaine presse, qui le droguait avec des niaiseries du genre: « Macky droit dans ses bottes » « Macky siffle la fin de la récréation. « Avec pour contre partie des enveloppes d’argent glissées sous les tables. Dans la lumière tamisée de quelque restaurant de luxe.
Cette même presse sevrée de l’argent public depuis le 24 mars 2024 essaie aujourd’hui de vendre aux sénégalais l’opportunité de la candidature, dans le cadre d’une coalition ridicule, du bourreau de près de cent jeunes personnes. Nostalgie du paradis perdu oblige ! Mais le peuple, pour sa part reste convaincu que s’inviter à ces joutes du 17 novembre est pour Macky Sall un acte hautement indécent.
Lettre ouverte à Monsieur le Ministre-Conseiller Monsieur le Ministre, La parole publique est un privilège, mais également une responsabilité écrasante....
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