Réplique à Emmanuel Macron: Le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko félicité en Afrique et dans la diaspora

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Alors que les propos du président français Emmanuel Macron sur le continent africain notamment le retrait des bases militaires françaises annoncées au Sénégal au Tchad et en Côte d’Ivoire, sont très critiqués, la réplique cinglante de Ousmane Sonko Premier ministre sénégalais, semble satisfaire bon nombre d’africains du continent et de la diaspora. Toutes ces réactions de félicitations à l’endroit du Premier ministre Ousmane Sonko, ont vite dominées les réseaux sociaux. Ces africains d’ici du continent et de la diaspora, ont manifesté leur satisfaction pour la réponse du chef du gouvernement sénégalais. Pour nombre de ces internautes pour la plupart, Ousmane Sonko a remis le président français à « sa place ». D’aucune mêmes ont fait des lives sur tik tok pour vivement féliciter et remercier le Premier ministre Ousmane Sonko. « Il fallait un leader de l’envergure de Ousmane Sonko pour remettre Macron à sa place », commente une activiste africaine qui dansait même pour exprimer sa joie.

Le président français Émmanuel Macron, a dans un message au peuple le lundi dernier, révélé que le retrait des bases militaires étrangères en France, s’est fait à partir de discussions concertées entre Paris et ces pays. Une révélation qui semble en déphasage de la réalité si on se réfère à la sortie au vitriol du Premier ministre Ousmane Sonko. Selon le chef du gouvernement sénégalais, le Sénégal a travers son président Bassirou Diomaye Faye, a pris la décision de manière souveraine à faire partir les militaires français chez eux.

Présentes au Sénégal comme dans beaucoup de pays africains après les indépendances dans le cadre des coopérations militaires, les bases militaires françaises, devenues « indésirables » sur le sol africain depuis le comportement de Paris sur la lutte contre le terrorisme et son attitude « jugée » colonialiste sur ses ex colonies, se rétrécient sur le continent. Le Mali, le Burkina et le Niger, les trois États de l’AES,  les premières sont les premiers à interrompre leurs coopérations militaires avec Paris. Dans ces trois où les militaires sont au pouvoir, il n’y a aucune base militaire dans leurs sols.

Par Senpresse.net

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