Polémique sur la nomination de Aoua Bocar Ly Kane: Le Premier Ousmane Sonko appelle les militants et sympathisants au calme et à la retenue

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Alors que les esprits s’échauffent et ne s’estompent pas depuis l’annonce de la nomination de Mme Aoua Bocar Ly Kane au Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA), le Premier ministre Ousmane Sonko par ailleurs leader de Pastef au pouvoir, est intervenu dans un live ce dimanche vers les coups de 22 heures 50 pour appeler au calme et à la retenue. Ousmane Sonko qui a d’ailleurs reconnu la colère de ses partisans suite à cette nomination, a tenté d’expliquer que certaines nominations ne donnent pas le choix au président de la République. Mais ceci  s’empresse-t-il de rassurer doit être revu. Non sans attirer l’attention  de ses militants, M. Sonko rappelle que certaines personnes de mauvaise, s’invitent dans le débat pour diviser ou saper le parti. Mieux il a fait savoir qu’il ne lit pas les journaux ou suivre les émissions pour pouvoir être au courant de tout.

Ainsi Ousmane Sonko a véhément défendu le président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye qui fait l’objet d’attaques tous azimuts de pastéfiens qui estiment qu’il promeut des gens qui passaient à l’insulter ou à dire au parti sous le défunt régime. Le leader de Pastef a rafraîchi les mémoires en soulignant que si Bassirou Diomaye Faye était emprisonné c’est parce qu’il me défendait où qu’il ne pouvait plus admettre qu’on parle du mal à mon égard. Sur ce, M. Sonko appellera ses partisans à la retenue et au discernement. « On peut prendre toutes les précautions mêmes à notre sein mais on remarque qu’il y a des failles dans les enquêtes », a-t-il fait aux  détracteurs de leurs choix invitant aux militants et sympathisants de faire confiance totalement en leur laissant dérouler. « On n’impose pas ou menacer  le président de la République. C’est la Constitution qui l’a donné cette prérogatives de nomination des emplois civils et militaires », a-t-il rappelé avec force se désolant de certains qui disent « j’exige ». « Comment on peut exiger le président de la République président de tous les Sénégalais. Ceux qui pensent qu’en menaçant qu’ils vont forcer au président à reculer ils se trompent, ni le président encore moins moi, je n’acceptera jamais de tels comportements », a tranché le leader de Pastef, martelant « chers compatriotes, nous avons un État à gérer ».

Par Senpresse.net

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